Chapitres
- 01. L’anglais : un rayonnement international
- 02. Six astuces pour améliorer son anglais au travail
- 03. Avoir le bon niveau pour parler l'anglais professionnel
- 04. Les formules propres à l’anglais professionnel
- 05. L'anglais, un atout professionnel
- 06. Apprendre l'anglais professionnel dans un pays anglophone
- 07. Les centres de formation à l'anglais professionnel
- 08. Les professions où l’on doit parler anglais
- 09. Comment prouver son niveau d’anglais professionnel ?
- 10. Comment financer une formation à l’anglais professionnel ?
Maîtriser l'anglais est aujourd'hui une valeur sûre sur votre curriculum vitae.
Que l'on recherche un travail dans le tourisme, la restauration la traduction mais aussi le commerce, le droit…
Apprendre l'anglais est nécessaire pour communiquer dans le monde des affaires car elle se présente comme une langue internationale.
Si les compétences linguistiques sont jugées trop faibles ou trop académiques, il est encore temps de s'y mettre sérieusement !
L’anglais : un rayonnement international
Impossible de nos jours de passer à côté de la langue anglaise. Enseignée dès l’école primaire, cette langue étrangère est aujourd’hui une langue incontournable. Et pas uniquement dans le monde professionnel.

Pour vous donner un aperçu, l’anglais représente lus de 450 millions de personnes ayant la langue de Shakespeare comme langue maternelle, et plus de 750 millions parlent l'anglais en tant que langue étrangère. L’anglais se hisse ainsi au rang de première langue enseignée dans le monde.
C’est simple, aujourd’hui, savoir parler anglais est essentiel pour trouver un job ou encore pour se faire comprendre dans un pays étranger. Il est assez courant que deux personnes de nationalités différentes, même sans avoir l’anglais pour langue maternelle, se parlent entre elles en anglais.
L’anglais a pris une place importante dans notre quotidien. Des mots anglais insérés dans notre quotidien aux termes techniques du monde professionnel, chacun doit avoir aux moins quelques bases d’anglais pour comprendre le monde qui nous entoure aujourd’hui.
Il n’y a qu’à voir, la majorité des ressources disponibles en ligne sont disponibles en anglais. L’anglais est ainsi la langue la plus utilisée sur internet. Il est donc assez courant d’avoir à aller chercher des informations en ligne présentées en langue anglaise.
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Six astuces pour améliorer son anglais au travail
Comment améliorer son anglais professionnel ?
Ce n'est plus un secret : l'anglais enseigné à l'école est insuffisant pour prétendre parler couramment la langue de Shakespeare.
Les cours sont focalisés sur des fiches de vocabulaire anglais mais aussi sur la grammaire, la conjugaison et la compréhension écrite.
C'est bien, mais le dialogue, la conversation et l'expression orale sont négligés.
Résultat ?
Des années d'apprentissage d'anglais pour un niveau linguistique très faible. Enrichir son vocabulaire ne suffit pas à comprendre l'anglais et encore moins à apprendre à parler anglais.
Apprendre une langue étrangère est bien plus complexe ! Alors comment améliorer son niveau d'anglais ?
Voici quelques conseils pour épater les collègues au boulot !
Reprendre ses manuels scolaires
Même si l'on a du mal à les supporter encore, les livres scolaires de grammaire anglaise et de vocabulaire sont à garder sous la main.
Ils sont une base nécessaire pour renforcer ses compétences linguistiques.
Les cours de langue et cours d'anglais restent toujours utiles.
Si l'on ne souhaite pas en acheter, rendez-vous sur internet pour des cours gratuits en ligne accessibles !
Trouvez votre lecon anglais ici.
Parler et écouter l'anglais
Langue la plus parlée sur internet, pourquoi ne pas utiliser Skype pour entretenir quelques conversations avec un anglophone ?

Également, les podcasts ou les séries en version original sont un très bon moyen pour progresser rapidement en anglais.
Plus on écoutera la langue anglaise, plus vite seront assimilés son accent et toutes ses subtilités.
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Lire en anglais
Pourquoi ne pas tenter de lire des célèbres ouvrages anglais ? La plupart des livres de littérature classique qui trônent sur les étagères de nos bibliothèques ont été traduits en anglais !
Par exemple, la saga d'Harry Potter !
Pas encore prêts à se lancer dans la lecture de romans ? On peut alors songer à lire les actualités sur les sites de presse numérique, un excellent moyen pour apprendre l'anglais gratuitement.
La compréhension en anglais sera rapidement plus développée (cours d'anglais bordeaux).
Se tenir informé du monde qui nous entoure est primordial pour notre culture personnelle.
Prendre des cours particuliers en ligne ou à domicile
Les Français passent en moyenne trois à quatre heures par jour devant l'écran de télévision ou d'ordinateur.
L'on ne peut donc plus dégainer la fausse excuse et sempiternelle rengaine du "je n'ai pas le temps de m'y mettre".
Pour améliorer son niveau en anglais, on peut substituer du loisir devant la télévision à l'entraînement devant l'Ipad. Cela évitera de passer des heures à jouer aux jeux vidéos le soir.
Prendre des cours d'anglais en ligne sur la plateforme Superprof sera plus constructif, le tout en profitant de cours interactifs à même le canapé (exemple => cours d'anglais paris) !
Pour progresser rapidement, optez pour des cours intensifs !
Voici comment trouver des cours d'anglais en ligne.
Faire un stage professionnel à l'étranger
Les pays anglophones sont nombreux, de l'Angleterre à l'Amérique du Nord en passant par l'Océanie, et voyager est de plus en plus facile !

Selon les goûts de chacun, cibler d'abord en fonction du coût de la vie local, puis penser au climat (froid/chaud, tropical/tempéré)...
Non seulement partir au Canada ou en Nouvelle-Zélande va faire considérablement progresser en anglais mais en plus, cela apprendra aussi à avoir un accent irréprochable qui fera plus d'un jaloux au bureau !
Comment progresser en anglais debutant ?
Se préparer pour le TOEIC, le TOEFL ou l'IELTS
Passer cet examen forcera à se mettre sérieusement à l'anglais.
Il faudra se perfectionner pour obtenir un bon score. Prendre des cours intensifs, opter pour une formation anglaise ou des cours d'anglais du soir si le temps vient à manquer.
On peut même apprendre l'anglais gratuitement en ligne, pour ceux qui ont peu de moyens : bref il n'y a plus aucune excuse pour ne pas passer un test d'anglais.
En plus, c'est un énorme point positif à ajouter sur le CV. Alors aucune raison d'hésiter à tenter ce test !
L'expression orale sera évaluée, tout comme la compréhension orale.
Avoir le bon niveau pour parler l'anglais professionnel
Quel est le niveau requis pour parler anglais au travail ?
Que l'on soit jeune diplômé à la recherche du premier emploi ou actuellement désireux de faire évoluer sa carrière, parler anglais s'avère nécessaire.
Langue de la communication internationale, l'anglais est aujourd'hui au devant de la scène.
Si les enseignements traditionnels transmettent les bases de l'anglais tant au niveau de la conjugaison et de ses verbes irréguliers que de la grammaire, l'anglais professionnel reste bien souvent ignoré des cours.
Vocabulaire plus technique, tournures plus recherchées… Maîtriser l'anglais des affaires diffère de l'apprentissage standard scolaire.
Alors, pour améliorer son niveau en anglais, mieux vaut penser à :
- Pratiquer l'anglais fréquemment. Avec un professeur particulier, au cours d'un séjour linguistique ou tout simplement sur internet voir dans la rue… Quelque soit le niveau d'anglais, se mêler à la population anglophone est important ! Apprendre à parler une langue comme l'anglais est facile si on la pratique régulièrement, l'on comprendra donc aisément en quoi une immersion linguistique est bénéfique ! Il n'y a pas de meilleures leçons d'anglais que celles travaillées sans s'en rendre compte ! Ceux qui souhaitent progresser rapidement en anglais n'ont pas d'autres choix que de partir à l'étranger.

- Activer son droit au compte personnel de formation (CPF), accessible à tout salarié demandeur.
Pour s'évaluer afin de savoir si ses compétences sont à la hauteur du poste recherché, plusieurs moyens sont mis à disponibilité de chacun :
- Le TOEIC, test le plus connu actuellement. Il permet de s'attribuer une note globale qui révélera le niveau du candidat. Il importe d'avoir une bonne formation linguistique avant de passer cet examen !
- Le BULATS (Business Langage Testing Services) ou le BEC dans un cadre plus professionnel.
Après de nombreuses révisions intensives, il ne reste qu'à postuler ! D'accord, c'est bien tout ça mais vers quel secteur se diriger ?
- Le tourisme, la restauration, la traduction… Autant de métiers reconnus qui nécessitent souvent de devenir bilingue, ou du moins d'avoir une excellente maîtrise de la langue anglaise !
- Le commerce
Langue internationale des affaires, l'anglais est aujourd'hui parlé couramment entre les interlocuteurs de différentes origines.
Pour passer un marché, s'entretenir au téléphone avec un client ou envoyer un courriel, maîtriser l'anglais écrit et parlé est essentiel ! - Le web
Langue la plus parlée sur internet, l'anglais est un atout majeur sur votre CV pour travailler dans le web. Community manager, rédacteur web, développeur web, chef de projet web ? Les anglophones n'auront aucun mal à trouver un boulot en rapport direct avec leur profil !
Comment trouver un cours anglais 6ème ?
Les formules propres à l’anglais professionnel
L’anglais professionnel est un langage à part entière : même les locuteurs natifs des pays anglophones ne maîtrisent pas toujours toutes les tournures utilisées en entreprise.
Pour faire une bonne première impression et entrer dans le monde si fermé du business, suivez le guide !
L’argot anglophone du business
On pensait bien connaître la langue de Shakespeare, mais à se confronter au jargon du business, des lacunes apparaissent ?
Pour travailler dans une corporation anglophone, il est indispensable d’étudier et d’approfondir ses connaissances en lexique des affaires.
Ici, le vocabulaire utilisé est en fait de l’argot : les termes ne sont pas forcément référencés dans les dictionnaires bilingues traditionnels, d’où l’importance de connaître les bonnes ressources avant de commencer son apprentissage.
Pour tout savoir du langage argotique du business, rien de plus simple !
L'on peut tout d’abord apprendre en autodidacte.
Pour ce faire, on passera par des manuels et des dictionnaires spécialisés dans le vocabulaire des affaires, comme par exemple : The Slangman Guide : slang, idioms & jargon used in Business English de David Burke.

Cependant, il peut être compliqué de trouver ce genre d’ouvrages dans une librairie habituelle.
L’idéal est donc de passer par les sites internationaux de vente, ou de consulter gratuitement ces manuels dans les bibliothèques universitaires ou anglophones.
Voici un petit florilège des termes argotiques du business, propres à l'anglais professionnel :
- "Boil the ocean" = une critique à l’encontre de l’employé, qui est trop inefficace dans ses tâches ("You’re boiling the ocean !"),
- "Net-net" = le résultat final,
- "Wet signature" = une signature physique (comprenez : une signature non-électronique),
- "Buy-in" = un consentement,
- "Granular" = être particulièrement méticuleux dans ses explications,
- "Peel the onion" = réaliser l’analyse complète d’un problème,
- "Bandwidth" = la capacité physique ou émotionnelle à supporter un travail,
- "Drill-down" = commencer par les explications générales pour en venir aux plus petits détails,
- "Soup to nuts" = l’approche intégrale d’un concept,
- "Out of pocket" = être injoignable par le bureau pendant quelques jours,
- "C-level" = les plus hauts postes d’une entreprise, comme le CEO (le PDG en français).
Pour réviser l’anglais professionnel depuis chez soi, certains sites proposent des définitions en ligne du vocabulaire rencontré dans le monde des affaires !
Connaître cette forme d’anglais n’est pas indispensable pour la plupart des corps de métiers.
En revanche, pour faire une carrière brillante dans l’économie, mieux vaut réviser tous ces termes pour pouvoir communiquer efficacement avec ses collègues et s'intégrer au sein de l’entreprise.
Pour ceux qui craignent ne pas réussir à assimiler ce langage très spécial, de nombreuses écoles de langue françaises proposent des cours d’anglais spécifiques à l’argot du business.
De quoi apprendre l’anglais professionnel avec des experts de la finance et de la linguistique !
La politesse dans le monde des affaires
Comme dans toutes les cultures, l'univers professionnel anglophone connaît son lot de traditions et de mœurs à respecter dans le monde du business.

L’idéal est d’adopter le bon comportement, et ce dès l’entretien d’embauche : le recruteur verra ainsi que son candidat connaît bien le monde des affaires et qu’il pourra facilement convaincre des clients anglo-saxons.
Tout est d’abord une question de confiance en soi !
Selon un sondage réalisé par OfficeTeam en 2012, 25% des recruteurs américains estiment qu’une poignée de main molle réduira les chances d’embauche d’un candidat.
L'esprit de "winner" devra donc transparaître à la fois dans le langage corporel et dans le choix de vocabulaire.
Certes, ce n'est pas une mince affaire de prime abord. Mais c'est comme tout, avec un peu d'entraînement, l'on sera aguerri...
Gaëlle Marre, la directrice d’OfficeTeam aux États-Unis, explique le 23 septembre 2013 à Cadre Emploi :
"Quels que soient votre formation, vos diplômes et votre expérience professionnelle, un entretien se joue aussi sur des points d’attitude, de comportement, et d’engagement. Ces éléments influents sont à travailler, car ils peuvent être déterminants. Savoir les exploiter pleinement est un atout concurrentiel."
Pour démontrer son engagement, rien de tel qu’une bonne connaissance de la politesse anglophone !
Voici les techniques pour maîtriser l’anglais professionnel dans le monde des affaires :
- Ne jamais utiliser de termes péjoratifs pour décrire son ancien emploi : "oppressing", "boring" ou "dull" sont à bannir du vocabulaire usité,
- Toujours adopter une démarche "pro-active", c'est-à-dire dynamique, motivée, enthousiaste,
- Laisser les complaintes et la négativité à la maison (dans la culture anglophone, il est mal vu de se plaindre car celui/celle qui se plaint n'est pas à sa place, devrait changer d'entreprise ou de ville),
- Avoir un rythme de dialogue fluide,
- Eviter les blagues ou les jeux de mots,
- Ne pas se concentrer sur son job application et rester naturel,
- Rester poli en toute circonstance, notamment avec ses collègues : dire "would you mind handing me this spreadsheet please ?" au lieu de "hand me this spreadsheet",
- Utiliser les locutions appropriées : dire "good morning" plutôt que "hi" ou "hello", qui sont trop amicaux,
- Utiliser les titres de civilité pour parler à ses supérieurs : "sir", "madam",
- Garder l’esprit ouvert quand on ne maîtrise pas une compétence : "I’ve never studied SMO before. Can you tell me more about it ?",
- Ne pas s’auto-critiquer ni se dévaloriser : "I did not have the opportunity to work with social networks yet, but I’m looking forward to it", plutôt que « I do not know anything about social networks", ou pire, "I am not keen on social networks".
Connaître toutes ces formules de politesse est tout aussi important que de maîtriser l’argot du business : pour se faire un nom dans le monde des affaires, il est obligatoire d’avoir un comportement irréprochable et un vocabulaire adapté.
L’un dans l’autre, l’apprentissage reste facile d’accès pour tous les étudiants d’anglais !
En effet, il est inutile de se compliquer la tâche, puisque les termes de politesse utilisés restent basiques. C’est plutôt la façon de les employer qu’il faut apprendre à maîtriser : par exemple, dire « sorry » trop souvent peut être un signe de faiblesse, mais ne jamais le dire peut être pris comme un manque d’humilité.
Avec une bonne dose de confiance en soi et une connaissance parfaite du monde anglophone, l’anglais commercial reste à la portée de tous !
L'anglais, un atout professionnel
Langue la plus parlée au monde, l'anglais est également la langue étrangère la plus utilisée dans le monde du travail !
On aura sans doute remarqué, il est fréquemment mentionné "maîtrise de l'anglais obligatoire" à la fin des petites annonces d'emploi.
Au mieux, il est simplement ajouté "la maîtrise de l'anglais est un plus".
Et oui, on peut dire que l'anglais est un atout professionnel !
Actuellement dans une forte période de chômage structurel, trouver un travail en France relève du parcours du combattant. Un recruteur reçoit plusieurs centaines de CV et doit rapidement faire le tri.
Il faut par conséquent impérativement se démarquer face à la concurrence des profils !
Un CV qui ne précise aucune mention de maîtrise de l'anglais, ou qui comporte la moindre faute d'orthographe, sera directement jeté à la poubelle, même si le cursus de formations est affriolant !
Outre la formation et la liste des expériences professionnelles, c'est surtout les compétences et le niveau de langue qui seront passés au peigne fin par un employeur anglophone.
Un anglais "lu, écrit, parlé" placera le candidat sans aucun doute au sommet de la liste !
Deux solutions pour améliorer son anglais :
- Prendre quelques cours particuliers en ligne ou à domicile, perfectionner sa grammaire anglaise, enrichir son vocabulaire, notamment professionnel et apprendre les verbes irréguliers,

- Effectuer un séjour linguistique dans un pays anglophone. S'imprégner d'une nouvelle culture avec une langue officielle différente de la sienne permettra d'apprendre rapidement et facilement !
La future entreprise saura apprécier un niveau confirmé en anglais !
Les conséquences de cette valeur ajoutée seront multiples :
- La carrière ne demandera qu'à décoller après cet investissement pour l'apprentissage de l'anglais,
- Le candidat pourra avoir de nouvelles responsabilités, comme contacter des interlocuteurs anglophones ou rédiger des courriers en anglais. Qui sait, le supérieur pourra même convier la nouvelle recrue aux réunions professionnelles,
- Pour ceux qui rêvent d'une mutation à l'étranger, c'est aussi une bonne raison de prendre au sérieux l'anglais !
Envie de s'expatrier ? Un niveau anglais débutant sera loin de suffire !
Un niveau suffisamment élevé sera requis pour pouvoir communiquer fréquemment avec ses associés ou ses clients. Voilà une bonne raison de se mettre rapidement aux cours d'anglais.
- Qui dit nouvelles responsabilités dit nouveau salaire. Cela offrira un bon prétexte pour demander une augmentation à l'employeur !,
- Même pour les gens en freelance ou chef d'entreprise, il faudra voir la langue anglaise comme la possibilité d'étendre sa société vers l'international,
- Améliorer son niveau de langue permettra de chercher un autre emploi. Sans la barrière de la langue, on ouvre le champ de recherche avec une connaissance de nombreuses expressions idiomatiques anglaises. Alors si l'employeur n'estime pas un employé à sa juste valeur, alors il est temps pour lui de chercher un autre emploi.
Apprendre l'anglais professionnel dans un pays anglophone
Travailler à Londres
Pourquoi partir travailler à Londres ?
Pour devenir bilingue, la meilleure solution reste celle de l'immersion dans un pays étranger anglophone.
Malgré l'actualité du controversé Brexit, partir à Londres pour s'enrichir professionnellement et humainement reste toujours possible et recommandé !

Attention cependant, avant le grand départ, il faudra veiller à plusieurs choses :
- Partir avec un certain niveau d'anglais. Les débutants peineront à trouver du travail !,
- Trouver un logement rapidement. Se loger à Londres est très difficile alors mieux vaut consulter les petites annonces ou opter pour une solution de logement très en vogue dans les grandes villes occidentales à forte densité : la colocation !,
- Se renseigner sur le système de santé anglais, le National Health Service,
- Avoir de l'argent de côté : la vie londonienne est magique mais elle a un coût : avec Sydney, Londres fait partie des villes les plus chères du monde !
A propos de la recherche de travail, là encore il faudra tenter d'être méthodique pour trouver une nouvelle entreprise :
- Faire le point sur ses diplômes et ses compétences aidera à postuler au bon endroit, c'est-à-dire adresser le bon signal d'employabilité aux entreprises,
- Démarcher les sociétés en rapport avec son profil.
Si malgré tout l'on préfère vivre au jour le jour :
- Trouver des petits boulots dans la restauration, dans l'hôtellerie et le commerce peuvent aider à tisser des liens,
- Donner des cours de français à des Anglais qui souhaitent débuter le français pour vivre à Paris !
Peu importe le projet, le principal est de parvenir à s'en sortir rapidement monétairement parlant.
Concernant les relations, il sera très aisé de rencontrer de nombreuses personnes par l'intermédiaire du travail, de la colocation ou des sorties : les Anglais sont connus pour leur sens inné de la fête !
En voyage linguistique en Angleterre, quiconque vivra une expérience unique qui fera en ressortir grandi.
Enfin, on rentrera surtout au pays avec un bagage professionnel permettant de se différencier des autres candidats : la route vers le niveau bilingue sera déjà tracée !
Le vocabulaire professionnel sera parfait, la grammaire anglaise irréprochable et l'accent fera sensation ! L'anglais deviendra le meilleur allié de la recherche d'emploi.
Travailler aux USA
Pour apprendre toutes les tournures linguistiques d’une langue, rien de mieux qu’un séjour à l’étranger en immersion totale !

Si autant de jeunes étudiants décident de partir aux États-Unis, ce n’est pas pour rien : le voyage aux USA permet d’augmenter son niveau d’anglais professionnel en un rien de temps, car on côtoie la langue de Shakespeare dans sa vie quotidienne.
Kseniya Yasinska, déléguée de l’Union des séjours éducatifs, explique au Monde le 18 février 2015 :
« Pour se repérer, il existe aujourd'hui des niveaux européens de compétence qui permettent de savoir où on se situe (le Cadre commun de référence pour les langues, ou CECR, mis en place par le Conseil de l'Europe en 2001 et qui établit six niveaux, de A1 à C2). On dit que 30 heures d'apprentissage dans une école de langue en France correspondent à un demi niveau. Au bout d'un an passé aux Etats-Unis, on peut être niveau C1 (le deuxième meilleur niveau) même pour quelqu'un qui partait de zéro. »
Travailler dans la première puissance économique mondiale a donc des vertus linguistiques indéniables, mais pas seulement !
En effet, travailler outre-Atlantique permet de :
- Booster son niveau d’anglais,
- Découvrir une nouvelle culture,
- Accéder à des corps de métiers peu développés en France,
- Se lier d’amitié avec des Américains et organiser des échanges linguistiques,
- Ajouter une expérience non-négligeable à son CV,
- Apprendre l’anglais familier utilisé par les natifs,
- Avoir des collègues venus du monde entier (le fameux "melting-pot" New-yorkais), etc.
Pour travailler dans le monde des affaires américain, il faut cependant savoir que l’anglais commercial qui y est pratiqué est différent du "british language" !
Afin de mettre toutes les chances de son côté lors d’un entretien d’embauche avec un recruteur au pays de l’oncle Sam, il faut tout d’abord étudier en profondeur le vocabulaire américain du commerce.
Pour apprendre en autodidacte, le dictionnaire American Business Language : a Dictionary de W. Davis Folsom regroupe tout le jargon américain des affaires.
Bon à savoir : avec en poche un diplôme de l’enseignement supérieur, ce qui est généralement le cas pour les commerciaux, l'on peut effectuer une demande de Visa H1B d’une durée de trois ans maximum, renouvelable jusqu’à 6 ans.
La société française favorise donc la mobilité, en particulier pour les personnels employés par une compagnie multinationale !
En suivant tous ces conseils, le lecteur sera désormais paré pour démarrer un apprentissage sérieux de l’anglais professionnel.
Avec une maîtrise irréprochable de la langue de Shakespeare – voire une expérience dans un pays anglophone – toutes les plus grandes sociétés du monde se chamailleront pour acheter vos compétences !
Travailler en Australie
Partir travailler aux antipodes de la Terre - du moins par rapport à nos latitudes européennes - attire chaque année plusieurs milliers de personnes.
Selon le portail du ministère des Affaires Étrangères français, "la communauté française installée en Australie est estimée à 75 000 personnes dont les deux tiers d’entre elles possèdent la double nationalité".
L'Australie, une île-continent, est une excellente terre d'accueil temporaire pour apprendre l'anglais professionnel.
Comment ?
En allant sur place chercher du travail !

Pour 315 €, les moins de 30 ans ont la possibilité de solliciter le désormais très célèbre programme vacances-travail (Working holiday visa), qui permet - par un accord intergouvernemental - de partir jusqu'à deux années pour visiter, voyager et travailler en même temps pour financer ses pérégrinations.
Ceux qui ont déjà un bon niveau d'anglais et qui sont dotés de compétences hautement qualifiées - dans le monde du web, dans les technologies, dans la santé, dans le bâtiment - peuvent vraiment prétendre trouver des emplois hautement rémunérés.
De nombreux Français partent avec seulement quelques rudiments de base en langue anglaise - leur grammaire anglaise est chaotique, les mots écorchés, leurs phrases en anglais sont hirsutes et entrecoupées de mots français, l'accent inaudible -, et ne peuvent que balbutier deux ou trois mots en arrivant à l'aéroport.
Autant leur dire que dans ce cas, leur voyage est un cours d'anglais intensif nécessaire, car acquérir un minimum d'aisance est le seul pré-requis pour y trouver un emploi.
Au début, les seuls emplois auxquels on peut prétendre avec un niveau infinitésimal ou débutant en anglais, sont les emplois sous-qualifiés, que bien souvent même les Australiens refusent de faire : la collecte de fruits et légumes (fruitpicking), la plonge en restauration et la manutention de base sur les chantiers.
ATTENTION : la concurrence sur ce genre de travail s'exerce entre voyageurs en Australie ! Mais quand on cherche vraiment, on ne reste jamais très longtemps au chômage.
Comprendre l'accent australien, aussi, s'apparente à un sacré parcours du combattant lorsque l'on débarque sur l'île des kangourous !
Personnellement, je pensais avoir la compréhension écrite et orale de la langue anglaise en atterrissant sur Perth.
La réalité fut toute autre en arrivant, je ne comprenais rien. Lors de mes tout premiers jobs, je ne parvenais ni à comprendre les Australiens, ni à avoir une conversation compréhensible, par manque de vocabulaire d'anglais professionnel.
Il m'a fallu trois mois pour acquérir une compréhension orale parfaite, six mois pour me débrouiller à l'oral, et un an pour acquérir un anglais fluide.
Partir travailler en Australie permet de :
- Apprendre l'anglais,
- Devenir bilingue,
- Tisser des liens avec des voyageurs de nombreux pays (Japon, Taïwan, Hong-Kong, Allemagne, Royaume-Uni, Nouvelle-Zélande, Chili, Italie, etc.),
- Profiter d'une expérience inoubliable,
- Faire une immersion linguistique et culturelle.
Pas réellement envie d'être employé par une entreprise anglaise, américaine ou australienne ? Recalé à la session de recrutement à cause d'un niveau d'anglais encore trop insuffisant ?
Pas de panique ! Il existe toujours la possibilité d'être accueilli par une famille pour vivre une expérience avec plusieurs personnes en travaillant le matin, et en visitant l'après-midi.
Vraiment ?
Oui, c'est le wwoofing. Ce n'est pas à la ferme que l'on pourra apprendre l'anglais des affaires, mais le fait de travailler avec un agriculteur anglophone natif peut aussi être un moyen d'apprentissage tout en étant libéré des codes de l'anglais commercial !
Les centres de formation à l'anglais professionnel
Il peut arriver que l'on n'ait pas (pas encore) les moyens de partir à l'étranger.
C'est précisément l'objectif initial de parler anglais couramment : chercher de meilleures responsabilités et de meilleurs revenus du travail.

En attendant, intégrer un centre de formation à l'anglais professionnel peut être une bonne alternative. En voici quelques-uns.
Babbel
Babbel est devenue célèbre dans l'étude des langues étrangères et sa réputation n'est plus à faire.
Babbel propose des cours interactifs d'anglais des affaires en ligne avec des mises en situation professionnelle pour s'adapter aux desiderata du marché du travail anglo-saxon.
Les objectifs :
- Être en mesure de répondre au téléphone,
- Répondre aux e-mails,
- Improviser lors d'échanges à l'oral,
- Trouver les mots justes à chaque phrase en anglais,
- S'entretenir avec aisance avec des interlocuteurs variés,
- Gérer les situations de conflit en anglais,
- Entretenir une relation de clientèle en anglais.
Et, selon les spécialités au choix :
- Animer des réunions de travail,
- Négocier des tarifs,
- Élaborer des stratégies de marketing en anglais
- Faire du journalisme en langue anglaise,
- Mener une interview,
- Apprendre à faire une facture, un devis ou écrire une lettre de rappel en anglais,
- Enrichir son vocabulaire sur la comptabilité, les ressources humaines, les conditions de travail et les salaires.
British Council
Acquérir un niveau d'anglais professionnel permet de faire face à l'économie mondiale et de devenir un "gagnant de la mondialisation".
Les cours de British Council se proposent d'aider leurs apprenants à décrocher le poste qu'ils ont convoité, d'apprendre davantage de vocabulaire pour stimuler leur productivité - et augmenter leur salaire -, en mettant l'accent sur des situations de la vie courante en entreprise :
- Rédiger des rapports,
- Téléphoner aux clients,
- Participer à des réunions entre collègues.
Il n'y a pas d'agence dans ma ville car je n'habite pas Paris ?
British Council répond que la structure possède maintenant des ressources pédagogiques disponibles en ligne !
En présentiel, le plan de formation coûté 680 €, se déroule à Paris, tandis qu'en ligne, les enseignements sont gratuits !
Wall Street English
Envie de pratiquer et comprendre l'anglais business, acquérir du vocabulaire technique, être fluide à l'oral et s'exprimer avec aisance au milieu d'une assemblée de collègues - ou clients - qu'il faudra convertir en partenaires ?
C'est possible avec mes cours en présentiel à Wall Street English, qui transforme l'anglais général de ses clients en anglais adapté au monde de l'entreprise.
Leur plan d'action :
- Achat et vente, marketing,
- Management,
- Compétences relationnelles,
- Répondre au téléphone,
- Réunions et négociations.
Les premiers cours sont admissibles aux débutants !
Le travail s'orient sur des documents de la BBC, et traitent des sujets concrets du quotidien, notamment les actualités. Et les professeurs sont anglophones de langue maternelle anglaise.
Après avoir acquis 12 niveaux d'apprentissage, l'étudiant peut repartir avec un niveau C2, correspondant à l'ultime grade, le niveau de maîtrise.
Il y a plus d'une cinquantaine de centres de formations dans toute la France.
Gymglish
Éligible au compte personnel de formation, Gymglish délivre un diplôme d'anglais professionnel reconnu par l'État.
Les salariés, gérants d'entreprises et responsables de partenaires sociaux reçoivent leurs cours par courriel, et suivent un cours par jour ouvré.
Chaque utilisateur reçoit son diplôme d'anglais professionnel certifié en fin de formation. En revanche, celle-ci doit durer au moins six mois.
Les professions où l’on doit parler anglais
Bien qu’il soit tentant de répondre que toutes les professions ont besoin de l’anglais, quelque soit le domaine, il existe tout de même des secteurs pour lesquels la connaissance de l’anglais est un critère indiscutable.

Ces secteurs ne se content pas de quelques bases en anglais, ou d’un niveau « je me débrouille ». Non, ces secteurs attendent des travailleurs que l’anglais soit comme une seconde langue maternelle, ou presque.
C’est notamment le cas des cadres travaillant dans les secteurs de la comptabilité, le commerce, la finance, les ressources humaines, les assurances, l’informatique, la loi, la production, le marketing, ou encore les transports. Tous ces domaines ont un besoin constant d’utiliser la langue anglaise pour échanger avec des partenaires, des collègues, rédiger des rapports en anglais, négocier des clauses contractuelles, téléphoner à des clients à l'étranger, etc.
L’ensemble de ces secteurs demande notamment de connaître du vocabulaire bien spécifique, du vocabulaire professionnel.
Le tourisme fait également partie des secteurs pour lesquels l’anglais est un passage obligatoire. Même si ce secteur requiert moins de termes techniques, puisque vous échanger avec des clients en vacances, il est cependant nécessaire d’avoir un excellent niveau.
En effet, de nos jours, tous les employés du secteurs parlent très bien anglais. Au moment du recrutement, si vous avez un niveau un peu inférieur, cela peut tout de suite faire la différence. La concurrence est plus rude que si vous jouiez votre recrutement sur des compétences de russe par exemple.
Un autre domaine est également intransigeant sur la maîtrise de l’anglais : le web.
Comme expliqué précédemment, les ressources en ligne sont presque toutes en anglais. Impossible donc de ne pas savoir parler la langue de Shakespeare.
Comment prouver son niveau d’anglais professionnel ?
Il n’est pas toujours facile de prouver son niveau d’anglais au recruteur. Même avec quelques questions d’anglais à l’entretien, il est très difficile de montrer l’ampleur de ses connaissances.
De plus, il est souvent demandé de mettre son niveau sur son CV ; un grand casse-tête pour certains. Qu’appelle-t-on être bilingue ? Le recruteur a-t-il la même définition que nous ?
Il arrive alors souvent que les candidats mettent, à tors, qu’ils sont bilingues pour être sûrs d’être bien compris par l’employeur, alors que ces derniers devraient le plus souvent mettre « parle couramment ».
Pour éviter ce genre de déconvenue, il est conseillée d’indiquer son niveau de connaissance en fonction du classement mis en place par le Cadre européen commun de référence pour les langues (CERCL). Chaque candidat peut ainsi indiquer son niveau selon une échelle allant de A1 à C2 en passant par B1 et B2. Le niveau C2 est le niveau le plus compétent.
Mais encore une fois, il peut être compliqué de s’auto-évaluer et de savoir à quel niveau l’on se trouve exactement.
C’est pourquoi certaines entreprises demandent à leurs candidats d’indiquer le score obtenu dans le cadre de certaines certifications comme le TOEIC par exemple.
Le TOEIC
Le TOEIC est régulièrement demandé par les employeurs. À tel point que la plupart des grandes écoles font passer ce test à leurs élèves afin que ces derniers soient prêts à l’embauche. Le le TOEIC (Test Of English for International Communication) est notamment réputé pour être l’équivalent du TOEFL, plus utilisé, lui, dans le milieu académique.
Comment se passe le passage du TOEIC ? Il s’agit de répondre à 200 questions à choix multiples en lien avec des enregistrements sonores ou bien des textes en anglais. Il existe plusieurs TOEIC. L’un est basé sur la compréhension et l’autre sur l’expression. C’est le premier qui est particulièrement demandé par les entreprises. On l’appelle le « TOEIC Listening and Writing ».
Le score est ensuite indiqué par une note entre 10 à 990.
Il est impossible de « rater » son TOEIC. En effet, quelle que soit votre note, vous obtiendrez le certificat. Il s’agit surtout d’évaluer votre niveau. À chaque candidat ensuite de s’imposer sa propre limite. Il arrive que des entreprises précisent le score minium à atteindre pour être recruté.
Vous l’aurez compris, plus haut est votre score, est plus vous vous assurez des chances d’être retenus.

Le BULATS
Le BULATS (Business Langage Testing Services) est un test proposé par l’Université de Cambridge qui permet, comme le TOEIC, d’évaluer son niveau dans un contexte professionnel. L’épreuve est alors faite de façon à ce que le candidat puisse tester sa compréhension et son expression écrite et orale.
La note varie entre 1 et 100.
Le candidat est testé sur des situations de la vie professionnelle. C’est pour cette raison que le BULATS est particulièrement apprécié dans le monde du travail.
Tout comme le TOEIC, il est possible de s’entraîner grâce aux annales.
Le BEC
Tout comme le BULATS, le BEC est mis en place par l’Université de Cambridge. Cet examen se compose de trois parties indépendantes, toutes réalisées dans l’objectif de tester l’anglais professionnel du candidat.
Cet examen, beaucoup moins connu que le TOEIC ou le BULATS est pourtant reconnu dans le milieu professionnel, surtout auprès des cadres des entreprises étrangères.
Petite particularité : alors le TOEIC et le BULATS ne sont valables que deux ans, le BEC, lui, est à durée indéterminée.
Comment financer une formation à l’anglais professionnel ?
Professeur particuliers, cours en école de langue, organismes spécialisés, il existe de nombreuses façon d’apprendre l’anglais pour améliorer ses connaissances professionnelles. Mais comment est-il possible de financer tout cela ?
Être formé par sa propre entreprise
L’anglais est une compétence demandée et recherchée. Mais beaucoup de salariés sont entrés au sein de leur entreprise bien avant que le boom de l’anglais explose dans le monde professionnel. De plus, les voyages étaient beaucoup moins faciles et accessibles il y a quelques décennies. Partir un week-end à Londres n’était pas monnaie courante.
Mais pas de panique, en tant que salarié d’une entreprise, il est tout à fait possible de bénéficier de formations payées par votre employeur. C’est un atout autant pour le salarié que pour le patron qui améliore les compétences de ses employés.
Les formations proposées par les entreprises présentent souvent un programme bien spécial, adapté au domaine de l’entreprise.
Si aucune formation n’est prévue par votre entreprise, il est aussi possible de joindre une formation professionnelle extérieure et demander d’être financé par votre employeur.
Utiliser son compte personnel de formation
Certaines personnes souhaitent se former à l’anglais en dehors de leur lieu de travail, loin de tout cadre professionnel. L’employeur n’est alors pas obligé d’être au courant (sauf si vous devez louper des jours de travail pour suivre la formation).
Pour cela, il suffit d’utiliser son compte personnel de formation, le CPF. Chaque travailleur, salarié ou non, cumule alors un montant au fil des années, qui lui permet ensuite de payer une formation professionnelle. Ce montant est calculé en fonction du nombre d’heures travaillées.
Attention car toutes les formations ne sont pas ouvertes aux financement CPF. Il convient de bien se renseigner avant de choisir une formation et de s’y inscrire.
Mais rassurez-vous, l’apprentissage de l’anglais fait partie des formations les plus répandues et vous trouverez forcément une formation adaptée à votre emploi du temps et à votre budget CPF.
Vous voilà maintenant prêt à travailler avec vos collègues de Londres, New-York, Berlin, Sydney, ou encore Hong-Kong !
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